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  • Les 22,23, 24 septembre à St Nazaire



    Ville symbolique pour la gauche depuis plus de 60 ans, Saint-Nazaire sera le cadre idéal pour accueillir les travaux du courant.



    Depuis le congrès du Mans, le NPS a marqué de son empreinte l'écriture du projet en participant pleinement à toutes les étapes qui ont permis son élaboration. Poursuivant le travail entrepris, notre université de rentrée doit nous permettre de débattre collectivement des exigences que nous portons et de la manière dont nous envisageons qu'elles soient garanties dans la prochaine période. Notre préoccupation principale étant aujourd'hui le rassemblement de la gauche, c'est donc autour de ce thème crucial pour la victoire que s'articuleront nos ateliers et nos débats.



    Nous vous attendons nombreux lors de ces rencontres militantes.


    Programme des Universités sur : http://saintnazaire.nouveau-ps.net/ 


    Inscriptions : nps_57@yahoo.fr


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  • STRASBOURG (AFP) - Henri Emmanuelli, chargé des Etats généraux du PS, a souligné samedi que le candidat socialiste à la présidentielle devait ne pas commettre "une deuxième fois l'erreur stratégique de travailler pour le second tour avant d'avoir passé le premier".

    "Le meilleur candidat pour les socialistes, c'est celui qui fera le plus de voix au premier tour, celui qui ne commettra pas une deuxième fois l'erreur stratégique de travailler pour le second tour avant d'avoir passé le premier", a souligné M. Emmanuelli devant la presse en marge de la dernière séance des Etats généraux, à Strasbourg.

     

    "Nous avons commis cette erreur la dernière fois, il en est advenu que nous n'étions pas au second tour", a-t-il souligné, faisant allusion sans le nommer à la campagne de Lionel Jospin.

     

    "Attention, a-t-il insisté, l'obstacle c'est le premier tour, il y a le premier tour avant le second tour, et ce que j'observe depuis quelques jours démontre que ça a déjà été oublié".

     

    Il a fait valoir aussi que les socialistes "ne sont pas seuls dans cette bataille", il faut aussi "que ceux qui s'expriment aient en permanence à l'esprit la préoccupation de ne pas froisser le reste de la gauche", dont l'état lui a semblé d'ailleurs "pas plus rassurant" que celui des socialistes.

     

    "Il faut qu'à l'automne le climat et les relations changent", a-t-il estimé.

     

    Il a souligné aussi que "la sécurité n'est pas la préoccupation majoritaire de l'électorat de gauche", les études d'opinion mettant "loin devant" la question du plein emploi.

     

    "L'empoignade des égos, les auto-proclamations viveront ce que vivent les roses printanières et ne passeront pas l'été", a-t-il pronostiqué. "Plus on approchera de la campagne présidentielle, plus on verra apparaître les questions qui doivent être traitées", a-t-il dit.

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  • PARIS (AFP) - Henri Emmanuelli et Vincent Peillon, co-dirigeants du courant "Nouveau parti socialiste" au PS, ont vivement critiqué mercredi le projet du parti pour 2007, en cours de finalisation, également qualifié de "tisane gestionnaire froide" par Arnaud Montebourg.

    M. Montebourg, co-fondateur du NPS, a quitté ce courant à la suite du Congrès du PS du Mans en novembre, et créé la sensibilité "Rénover maintenant".

     

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    "A ce stade le texte est insuffisant et insatisfaisant", et relève "plus de la rhétorique que du politique", a souligné Vincent Peillon, lors d'un point de presse.

    "Il faut des modifications", a ajouté le député européen, qui a souligné que son courant allait présenter de "longs amendements" au texte, en cours d'élaboration depuis janvier et qui doit être adopté définitivement mardi prochain par la direction du PS, avant d'être soumis au vote des militants.

     

    Les amendements portent notamment sur la question des salaires et de la précarité, "primordiale" aux yeux du NPS, ainsi que sur l'Europe et sur la réforme institutionnelle en France, a souligné le député européen Benoît Hamon.

     

    Les amendements du NPS seront discutés lors de son Conseil national vendredi soir qui décidera de l'"attitude" de ce courant vis-à-vis du projet, a souligné M. Peillon.

     

    "Il faut moins de propositions et une lecture politique plus forte", a affirmé M. Emmanuelli, qui a "condamné" aussi le titre du projet du PS, "Réussir ensemble".

     

    "On ne connaît personne qui veuille échouer séparément", a-t-il ironisé, en insistant sur la nécessité de faire ressortir la "connotation politique" du projet socialiste dont les valeurs sont "la solidarité et la justice".

     

    "Le fil conducteur doit être l'égalité", a ajouté Vincent Peillon.

     

    Arnaud Montebourg a quant à lui marqué son désaccord avec la méthode prévoyant que les adhérents voteront sur un seul texte, sans amendements.

     

    "C'est une grave déception", a dit le député de Saône-et-Loire devant la presse, au lendemain de la discussion du texte devant le bureau national du parti. Il a évoqué un projet "frileux et conformiste, sans audace et sans ambition".

     

    Pour lui, "les leçons du 21 avril 2002 ne sont pas tirées", et notamment "la question centrale de l'impuissance du politique". "Il faut apporter une vision bouleversante qui déplace l'ordre des choses", a-t-il estimé, regrettant que le PS, "parti du mouvement", "se noie dans une tisane gestionnaire froide".

     

    Demandant que le parti "se ressaisisse", il a aussi annoncé le dépôt d'une série d'amendements au texte qui doit être discuté mardi par un nouveau bureau national élargi à la commission du projet.

     

    Les amendements porteront notamment sur la réforme des institutions et la VIème république ("45% du parti est pour", a-t-il affirmé), la régulation du capitalisme financier, la politique de l'emploi (avec par exemple la mise en place d'un système de bonus-malus social dans les entreprises), la relance de l'Europe, la recherche...

     

    Interrogé sur sa candidature éventuelle à l'investiture présidentielle, M. Montebourg a indiqué que "ce sera(it) abordé" quand le PS disposera de son projet définitif. "C'est sûr que ne pas avoir un projet satisfaisant et ne pas avoir de candidat qui porte nos idées, ça fait beaucoup pour le mouvement rénovateur", a-t-il glissé.

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  • Jeudi 25 Mai à 8h20 sur FRANCE INTER, Gilbert ROGER sera l’invité de Questions directes
     sur le "projet" de Loi relatif à la prévention de la délinquance.

    Vendredi 26 mai à 8h15 sur LCI, Vincent PEILLON sera l’invité de Pierre-Luc Seguillon

    Lundi 29 mai à 7h40 sur FRANCE 2, Benoît HAMON sera l’invité des Quatre Vérités, animé par

    Lundi 29 mai à 7h50 sur RTL, Henri EMMANUELLI sera l’invité de Jean-Michel Apathie

    Lundi 29 mai de 19h30 à 20h30, Benoît HAMON sera l’invité des Débats sur RADIO CLASSIQUE

    Lundi 29 mai, de 19h20 à 20h, Henri EMMANUELLI sera  l’invité du Téléphone sonne (Alain Bédouet)
    sur FRANCE INTER


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